Nos meilleurs conseils pour les examinateurs de l’IB

Organisez-vous au moins trois semaines avant la date à laquelle vous pensez devoir le faire.
Planifiez votre calendrier de correction : répartissez la charge de travail et ne tentez pas d’en faire trop d’un seul coup.
Respectez les échéances : tout retard peut avoir des conséquences bien plus importantes que vous ne le pensez.

Étudiez le barème de notation, mais restez ouvert(e) aux réponses qui adoptent une approche différente. Prenez le temps d’effectuer des recherches sur les informations fournies par les candidats que vous ne connaissez pas. J’ai énormément appris en suivant ce principe et je l’applique désormais avec mes élèves.
Essayez de rester informé(e) : lisez des publications qui abordent des thèmes d’actualité en géographie, telles que The Economist ou le Financial Times.
Planifiez des plages horaires pour corriger vos copies, essayez de les intégrer à vos activités quotidiennes de notation.

Adoptez le bon rythme. Le travail de correction peut paraître interminable si vous ne le répartissez pas en séances de travail raisonnables et si vous ne vous y tenez pas.
N’oubliez pas que derrière chaque copie que vous notez se trouve un élève ; nous sommes investis d’une énorme responsabilité en ce sens qu’il est possible que nos notes décident de leur avenir. Nous devons donc nous efforcer de traiter les élèves équitablement. Je m’efforce de rendre l’évaluation aussi transparente que possible en annotant les copies, et j’espère (et j’ai la certitude) que la notation électronique ne changera pas les bases de notre travail.
Adoptez les qualités du profil de l’apprenant de l’IB : faites de votre mieux pour demeurer intègre, altruiste et équilibré.

Envoyez toujours un message de présentation amical à votre équipe avant le début de la session de notation : présentez-vous, mettez en avant les aspects importants de l’exercice à venir et réassurez les examinateurs sur le fait qu’ils peuvent compter sur votre soutien en cas de problème.
Chaque membre de l’équipe d’examinateurs est sensible aux critiques, notamment ceux qui exercent cette activité depuis de nombreuses années sans avoir rencontré de problème. Vous devez par conséquent employer des techniques de mentorat bienveillantes et délicates même si cela prend du temps. Le ton que vous donnerez aux discussions est essentiel : rappelez-vous que votre objectif est de mettre en confiance les examinateurs.