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Theadosia Kurniawan, ancienne élève de l’IB, s’est entretenue avec sa collègue, Akshi Singh, une autre diplômée de l’IB, sur le parcours de la jeune femme depuis ses années dans le Programme du diplôme de l’IB. Cet article fait partie de notre série qui donne la parole aux diplômés.
Par Theadosia Kurniawan
Cela fait cinq ans que j’ai obtenu le diplôme de l’IB, mais mon parcours avec l’IB est loin d’être terminé ! Depuis l’obtention de mon diplôme, j’ai eu le plaisir de croiser, totalement par hasard, le chemin de nombreux anciens élèves. C’est incroyable de voir à quel point nous sommes connectés alors que nous n’avons pas étudié dans la même classe ni dans le même établissement. J’adore qu’ils me racontent leur parcours de l’IB et découvrir de quelle partie du monde ils viennent et ce qu’ils font aujourd’hui. Le fait d’élargir mon réseau d’anciens élèves de l’IB me donne l’impression que le monde est un endroit bien plus convivial.
Cinq mois seulement après avoir commencé mon premier poste à temps plein, j’ai eu l’occasion de travailler non pas avec un, mais avec deux anciens élèves de l’IB ! J’ai donc décidé de m’entretenir avec Akshi Singh pour en savoir plus sur son parcours de l’IB…
Peux-tu te présenter ? Quand as-tu terminé le Programme du diplôme et que fais-tu maintenant ?
Bonjour, je m’appelle Akshi ! Je suis née en Inde et je vis actuellement à Perth, en Australie-Occidentale. Je travaille à Ernst & Young, en tant que consultante en risques. J’ai obtenu le diplôme de l’IB en 2007, de la Bangkok Patana School, à Bangkok, en Thaïlande. J’ai suivi le Programme du diplôme complet, à savoir trois matières au niveau supérieur, trois matières au niveau moyen, le programme CAS, la TdC et le mémoire.
Une fois mon diplôme en poche, j’ai poursuivi mes études et obtenu un diplôme universitaire de premier cycle en commerce international avant de travailler à KPMG pendant trois ans en tant que consultante en risques et audit interne. Après cela, motivée par ma passion pour le social, j’ai décidé de préparer un diplôme universitaire de deuxième cycle en entrepreneuriat social à l’Université de Californie du Sud. Donc j’ai vécu dans quatre pays différents jusqu’à présent !
Comment décrirais-tu ton expérience de l’IB en trois mots ?
Dingue, drôle et difficile.
Quelle était ta matière préférée et pourquoi ?
J’adorais la biologie du Programme du diplôme, parce que cette matière m’intriguait et qu’à l’époque, je voulais étudier la médecine. Bien sûr, la vie est pleine de rebondissements et on ne finit pas toujours là où on l’avait imaginé, mais je suis heureuse d’être là où je suis aujourd’hui !
On était une sacrée bande, mais après avoir investi autant d’efforts […], on avait de bonnes raisons de célébrer !
As-tu quelques anecdotes rigolotes de ton expérience de l’IB que tu aimerais partager avec nous ?
Avec plaisir ! On a décidé d’organiser une « Journée des farces des dernières années » pour notre dernier jour de cours. On a couvert tous les miroirs des toilettes de crème à raser, déménagé le bureau de notre responsable d’année dans le jardin et rempli sa classe de ballons, et pour finir, on a décoré les arbres avec du papier hygiénique. On était une sacrée bande, mais après avoir investi autant d’efforts dans nos études, on avait de bonnes raisons de célébrer !
As-tu l’impression que ton diplôme de l’IB t’a préparée au monde extérieur ?
Oui, sans le moindre doute ! Comme le diplôme de l’IB est rigoureux, il m’a non seulement préparée à l’université, mais il m’a aussi aidée à intégrer de bonnes universités. Il m’a également appris à redonner ce que j’avais reçu à ma communauté et à cultiver ma passion pour l’apprentissage permanent.
Ces composantes du tronc commun du Programme du diplôme ne sont pas seulement stimulantes, elles participent à la construction de notre personnalité.
Selon toi, qu’est-ce qui distingue l’IB des autres programmes d’études ?
L’IB est différent des autres programmes d’études en ce qu’il nous demande d’étudier six matières différentes, dont trois au niveau supérieur et trois au niveau moyen. Cela signifie que l’on peut se concentrer sur les domaines d’études qui nous plaisent ou qui nous intéressent le plus. L’IB nous pousse également à dépasser nos limites grâce au programme créativité, activité, service (CAS), à la théorie de la connaissance (TdC) et au mémoire. Ces composantes du tronc commun du Programme du diplôme ne sont pas seulement stimulantes, elles participent à la construction de notre personnalité.
Quel type de compétences penses-tu que le programme de l’IB t’a le plus aidée à développer ?
Je pense que le Programme du diplôme m’a aidée à savoir gérer la pression, ce qui est essentiel dans le monde du travail. Je pense aussi que l’IB m’a aidée à redonner à la communauté et à développer une passion pour l’entrepreneuriat et l’impact social.
N’ayez pas peur de déployer vos ailes et de prendre votre envol.
Quel conseil donnerais-tu aux élèves qui commencent le Programme du diplôme ?
Mon conseil serait le suivant : n’ayez pas peur de déployer vos ailes et de prendre votre envol. La vie est remplie d’incertitudes et de changements. Il est possible que là où vous vous retrouverez demain n’ait rien à voir avec ce que vous voulez et imaginez aujourd’hui, mais il est important de suivre vos passions, quelles qu’elles soient !
Thea Kurniawan a obtenu le diplôme de l’IB de la Binus School Simprug, à Jakarta, en 2013. Elle a ensuite obtenu un diplôme de premier cycle en ingénierie de l’Université d’Australie-Occidentale en 2017, et travaille actuellement au sein du département de gestion de projet d’Ernst & Young. Pendant son temps libre, la jeune femme aime faire du volontariat dans des organisations pour la jeunesse et défendre la place des filles dans les disciplines scientifiques.