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Les défis du Programme du diplôme de l’IB ont préparé un ancien élève à intégrer une école de médecine au Pérou

José Luis Avilez Escribens est diplômé de l’IB et étudiant en médecine. Il nous explique comment son expérience à l’IB l’a préparé à l’université et à la vie en général.

En 2013, José Luis Avilez Escribens a obtenu son diplôme de l’IB au Markham College. Aujourd’hui étudiant en médecine, M. Avilez Escribens poursuit ses études à l’Universidad Peruana Cayetano Heredia à Lima, au Pérou. Son expérience de l’IB, notamment la rigueur du programme d’études et du mémoire, lui a apporté la préparation nécessaire pour réaliser ses ambitions : étudier la médecine.

Photo Credit: José Avilez

José Luis Avilez Escribens étudie actuellement à l’Universidad Peruana Cayetano Heredia à Lima, au Pérou.

 

 En médecine, les enseignants adorent exposer les élèves à des situations inattendues et inédites. Quand je suis confronté à de telles situations, je mets en pratique les compétences que j’ai acquises à l’IB. 

L’expérience de l’IB qui a le plus marqué le jeune homme est également celle qui a été la plus difficile. En effet, en s’inscrivant au cours de mathématiques complémentaires NS, M. Avilez Escribens ne savait pas vraiment à quoi s’attendre. « Je n’imaginais pas que chaque problème qui me serait présenté pendant le cours serait un véritable défi. Chaque seconde passée à réfléchir à une question difficile était bien utilisée. » Ce travail acharné a payé, notamment en matière de préparation à la rigueur des études de médecine. « En médecine, les enseignants adorent confronter les élèves à des situations inattendues et inédites. Quand je suis confronté à de telles situations, je mets en pratique les compétences que j’ai acquises à l’IB. »

Avilez Escribens rapporte que le programme de l’IB, en plus de lui enseigner la persévérance face aux difficultés, lui a également appris l’importance de l’éthique dans les études. Il se rappelle avoir lu de nombreuses histoires sur des procédures non éthiques dans la recherche scientifique lors des recherches qu’il a menées dans le cadre de son mémoire en chimie. Au cours de ses propres recherches et expériences, il a compris comment la « pression pouvait en amener certains à falsifier une donnée ou à exagérer des conclusions. » Toutefois, en dépit de la difficulté des projets scolaires comme le mémoire, le jeune homme a également appris que « dans les périodes difficiles, il vaut mieux s’engager dans le droit chemin que chercher la facilité ».

Aujourd’hui étudiant en médecine, il souhaite devenir médecin et porte un intérêt particulier aux systèmes de soin efficaces. Cette année, il a eu l’occasion de débattre de ce thème lors de l’édition 2015 de la conférence Harvard National Model United Nations. M. Avilez Escribens doit beaucoup à Mme Bentley, son enseignante d’anglais de l’IB, qui était également responsable de former les élèves aux débats. Grâce à elle, il a déclaré avoir suivi le programme du diplôme « avec une perspective plus approfondie et plus mature des affaires mondiales. »

 Nous espérons que nos conclusions alerteront les professionnels de la santé, afin qu’ils agissent contre le changement climatique et préviennent les dommages à la santé que ce changement risque de provoquer s’il n’est pas résolu. 

En plus d’avoir participé à cette conférence et débattu de questions mondiales liées à la médecine, M. Avilez Escribens effectue des recherches actives sur l’impact du changement climatique sur la santé dans son pays. Membre du prestigieux CRONICAS Center of Excellence in Chronic Disease à l’Universidad Peruana Cayetano Heredia, il a conçu avec son équipe de recherche un projet qui leur a valu de remporter leur première bourse de recherche concurrentielle. « Nous avons pour ambition de parvenir à mesurer l’écart entre l’effet réel et l’effet perçu du changement climatique sur les maladies non transmissibles dans une ville du nord du Pérou. Nous espérons que nos conclusions alerteront les professionnels de la santé, afin qu’ils agissent contre le changement climatique et préviennent les dommages à la santé que ce changement risque de provoquer s’il n’est pas résolu. »


 

Kari Lorentson, l’auteure de cet article, écrit sur l’expérience des diplômés de l’IB dans des universités du monde entier. Elle étudie à l’American University et a fréquenté la Fishers High School. Vous pouvez lui écrire à l’adresse alumni.relations@ibo.org.

 

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